Les chauves-souris sont depuis longtemps un vecteur du mal tout désigné dans nos imaginaires, souvent associées par le passé au démon et aujourd’hui au virus. Or, l’apparition des coronavirus souligne avant tout le déséquilibre entre les espèces et les écosystèmes, la promiscuité de plus en plus accrue entre les animaux d’élevages industriels, les réservoirs sauvages et les être humains. Pour Frédéric et Antoine Laugrand, la crise sanitaire témoigne aussi de notre incapacité à collaborer avec certaines espèces compagnes.
En savoir plus : https://laviedesidees.fr/La-lecon-anthropologique-des-chauves-souris.html



