Depuis une vingtaine d’années, Jacques Gamblin s’est imposé dans le paysage du cinéma français. Il a travaillé avec Claude Lelouch, Robert Guédiguian, Jean Becker, Claude Chabrol, Bertrand Tavernier, Philippe Lioret, et bien d’autres dans des films aussi différents que Tout ça pour ça, Pédale douce, Mademoiselle, Les enfants du marais, Laisser-passer (pour lequel il reçoit l’ours d’argent, prix d’interprétation masculine au festival de Berlin en 2002), Holy Lola, Le premier jour du reste de ta vie de Rémi Bezançon, Le nom des gens de Michel Leclerc, Le Premier Homme de Gianni Amelio. Récemment, on a pu le voir dans Hippocrate de Thomas Lilti et L’incroyable histoire du facteur Cheval de Nils Tavernier.

Il met aussi élégance, humour, légèreté, poésie et sa sensibilité à fleur de peau, au service de créations théâtrales : Quincailleries (1991), Le Toucher de la hanche (1997), Entre courir et voler il n’y a qu’un pas papa (2004), Tout est normal mon cœur scintille (2010), Ce que le Djazz fait à ma djambe, spectacle musical écrit avec Laurent de Wilde, 1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes, créé en complicité avec le danseur Bastien Lefèvre pour lequel il a reçu le Molière du comédien en 2018 et Je parle à un homme qui ne tient pas en place.

Participations à La Manufacture d'idées

  • 1 juin 2019

    La nuit sera calme